La première que j'ai bu du café c'était avec mon pépé. Il avait une habitude très étrange, il mettait environ 6 cuilléres de sucre dans une petite tasse de café hyper noir. Il aurait pu retourner sa tasse qu'aucune gouttes n'aurait tombait. Et c'est un peu grâce à lui que j'aime le café. Cette odeur particulière qui m'impregne le nez le matin est indispensable depuis.
Cette petite tasse du matin me donne comme un petit coup de fouet, je me sens réellement reveillé.
Et de temps en temps, j'en bois un petit aprés le repas du midi pour la digestion. Ceci étant, j'en bois rarement plus de deux par jour.
Et tous les cafés corsés ne se valent pas.
J'ai pour habitude de boire du café coulé classique, et de temps à autre, une dosette me convient trés bien. Mais cette semaine, en manque de dosettes, je décide de tester le café soluble d'un collègue...
Ce qu'il faut savoir avec le café soluble, c'est que son dosage est sensible. Mon collègue me conseille de dosser une cuillère et demi à café pour une tasse... Nikel ! Un café bien fort !
Très fort. Trop fort...
J'interroge mon collègue qui me confirme bien la dose mais pour une tasse de 40cl au moins. J'aurais du faire comme grand père, retourner tasse pour voir si le café tombe...
J'ai travaillé tout l'après-midi à suer comme un cheval, le coeur palpitant en hyperactivité de ouf ! Et contrairement ce que je pensais, je n'ai pas travaillé plus vite ni effectué plus de tâches. En fait, j'étais comme dans un autre espace temps dans lequel mon corps s'agitait plus vite qu'à la normal mais que mon esprit évoluait au ralenti.
Ca m'a rappelé qu'un de mes anciens patrons pouvait boire jusqu'à douze cafés par jours, et j'ai compris pourquoi je n'avais pas la sensation de le trouver plus efficace qu'un autre.
Alors, juste un café s'il vous plaît.
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